samedi 23 novembre 2013

  

Description:
  Le mystère des nombres premiers, est un documentaire (1h14) qui retrace l'histoire depuis plus de 2.000 ans de cette énigme mathématique qui reste encore un problème d'une telle difficulté à résoudre, que certains scientifiques ont même abandonné par désespoir.

Dans ce documentaire, Marcus du Sautoy, chercheur à Oxford, étudie l'histoire fascinante de grands mathématiciens, comme Carl Friedrich Gauss, Bernhard Riemann et Alan Turing, qui ont tous abordé le problème des nombres premiers. Marcus du Sautoy est un spécialiste du domaine. Dans son ouvrage "La musique des premiers", il fait vivre avec un enthousiasme communicatif la passion dévorante des mathématiciens qui, d' Euclide à Alain Connes, entre-autres, se sont attaqués à ce problème gigantesque. C'est l'univers exalté des mathématiciens fondamentalistes, un monde où rationalité et folie se côtoient et souvent s'interpénètrent.
"Il faudra encore attendre au moins un million d'années avant que nous comprenions les nombres premiers", soupirait le mathématicien Paul Erdös peu avant de rendre l'âme. Le mathématicien anglais, Godfrey H. Hardy, voyait dans la théorie des nombres, celle des premiers en particulier, "la plus difficile de toutes les branches des mathématiques".







Le Mystère Des Nombres Premiers

By: Unknown on: 05:15
    

Description:
  L'expression théorie de la relativité renvoie le plus souvent à deux théories distinctes élaborées par Albert Einstein : la relativité restreinte et la relativité générale. Ce terme peut aussi renvoyer à une idée plus ancienne, la relativité galiléenne qui s'applique à la mécanique newtonienne.
En 1906, le physicien allemand Max Planck utilise l'expression « théorie relative » (Relativtheorie), qui met l'accent sur l'usage du principe de relativité. Dans la partie discussion de cet article, le physicien allemand Alfred Bucherer utilise pour la première fois le terme « théorie de la relativité » (Relativitätstheorie)2,3.
Les concepts mis en avant par la théorie de la relativité restreinte comprennent :
  • Les mesures de diverses quantités sont relatives à la vitesse de l'observateur. En particulier, le temps se dilate et l'espace se contracte.
  • L'espace-temps : l'espace et le temps doivent être perçus comme formant une seule entité.
  • La vitesse de la lumière dans le vide est invariable, peu importe la vitesse de l'observateur et de la source lumineuse.
Les concepts mis en avant par la théorie de la relativité générale comprennent :
  • L'espace-temps se courbe d'autant plus que la masse à proximité est grande.
  • La gravité influence l'écoulement du temps.
  • Source:wikipedia





La théorie de la relativité

By: Unknown on: 05:07

Le blg bang des dinosaures:


     Il y a 25 ans, une découverte secouait la communauté scientifique, c'est la chute d'une météorite qui serait à l'origine de l’extinction des dinosaures. 
Aujourd'hui de nouvelles hypothèses suscitent une polémique bien plus vive encore. L’apparition des dinosaures serait également dû à l'impact d'une météorite. Cet événement aurait entrainé la disparition de la quasi totalité des organismes vivants laissant ainsi le champ libre aux grands sauriens. 
Il faut maintenant découvrir ou cette météorite a t-elle frappé la terre et pourquoi elle aurait provoqué de tels ravages. 

    Les dinosaures ont régné en maitre durant 170 millions d'années sur la planète. Ils sont parvenus à coloniser presque tous les écosystèmes terrestres. Aujourd'hui la plupart des scientifiques pensent qu'une météorite a provoqué leur extinction mais une énigme restait irrésolue: celle de la naissance de leur espèce. 
Des chercheurs ont récemment émis l'hypothèse qu'un autre crash de météorite, survenu il y a 170 millions d'années, pourrait être la clé du mystère... 






le blg bang des dinosaures

By: Unknown on: 05:00

dimanche 17 novembre 2013



Descriptif de la formation 

    Formation en tutoriel vidéo aux fondamentaux du métier de Webmaster en découvrant pas à pas des concepts techniques indispensables à la maîtrise du Web. Vous comprendrez enfin ce qui se cache derrière les termes tels que : Adresse IP et Classes TCP/IP, Architecture client-serveur, FTP, HTTP, HTTPS, SMTP et POP, Distribution wamp, SSH, Javascript, XHTML & CSS, Communication asynchrone, Protocoles, DNS, Cookies, Webservices, CMS, Ajax, PHP/MySQL, référencement SSO, Web 2.0... Des exemples pratiques de difficulté graduelle consolideront vos connaissances. Cette formation est animée par Jean-Marie Defrance, directeur technique dans le développement de sites Web dynamiques et enseignant notamment à Gobelins, l'école de l'image. 

http://www.youtube.com/watch?v=QXY8Nnc5Abs&list=PLNciONFcvvS8QCpUpR_UXQ8GBRWSpzUty



sommaire de la formation « «Les Fondamentaux du Webmaster »


Durée totale de la formation:4h28
  1. Introduction
    • Mot de l'auteur et note d'intention00:00:43
  2. Notion de réseau
    • Les réseaux intranet - Partie 100:08:36
    • Les réseaux intranet - Partie 200:04:56
    • Le réseau Internet00:11:07
    • Les classes IP00:09:07
    • Atelier pratique : le ping00:02:10
  3. Les applications Internet
    • Les 4 couches TCP/IP00:03:25
    • Les ports et les sockets00:04:48
    • L'application Web et les protocoles HTTP et HTTPS00:04:41
    • L'application Mail et les protocoles SMTP et POP00:05:10
    • L'application de transfert de fichier et le protocole FTP00:10:14
    • Atelier pratique sur le paramétrage d'un logiciel FTP00:12:14
    • L'application de connexion à distance et le protocole SSH00:06:11
  4. Nom de domaine
    • Syntaxe d'un nom de domaine00:03:11
    • Résolution d'un nom de domaine00:05:17
    • Configuration des zones d'un domaine00:11:32
  5. Architectures de site Web
    • Site statique avec le XHTML00:04:32
    • Site interactif côté client avec Javascript00:03:46
    • Site interactif côté serveur avec PHP00:06:57
    • Site dynamique avec PHP/MysSQL00:06:09
    • Site Web 2 avec Ajax00:07:26
    • Site Full Flash00:05:35
    • Site marchand avec HTTPS00:10:04
  6. Serveur et hébergement
    • Bande passante et débit00:03:56
    • Fournisseur d'accès00:06:13
    • Centre d'hébergement00:02:40
    • Différents types d’hébergement00:12:01
  7. Référencement (SEO) et Web analytique
    • Le Web marketing00:04:59
    • Les moteurs de recherche00:11:40
    • Le référencement naturel – Partie 100:22:56
    • Le référencement naturel – Partie 200:16:13
    • Le référencement naturel – Partie 300:04:23
    • Le référencement naturel – Partie 400:08:56
    • Atelier pratique : Optimiser son site

Les Fondamentaux du Webmaster

By: Unknown on: 11:39

samedi 16 novembre 2013


Table De Matière 
1.1. Introduction
1.2. Le prétexte
1.3. Explicitation
1.4. Le critère d'équirépartition de Wey
1.5. Motivation 1 : le crible
1.6. Motivation II : les formes modulaire
2 . Préparatifs pour le théorème des nombres premiers
2.1. Séries de Dirichle
2.2. Fonctions sommatoires et séries de Dirichle
2.3. Séries de Dirichlet et fonctions sommatoire
2.4. Caractères de groupes abéliens fini
2.5. La formule de sommation de Poisson
2.6. Fonctions L de Dirichlet
3 . Le théorème des nombres premier
3.1. Introduction
3.2. Le prolongement analytique des fonctions L de Dirichlet
3.3. Les zéros des fonctions L de Dirichlet
3.4. Le théorème des nombres premiers
Appendice : résultats d'analyse complexe
5 . Crible et sommes oscillantes sur les nombres premiers
5.1. Le crible en général
5.2. Arguments heuristiques 
5.3. Un crible combinatoire simple
5.4. Le crible oscillant de Duke-Friedlander-Iwaniec
5.5. Exemple pédagogique
6 . Formes automorphes et décomposition spectrale
7 . Estimation d'une série de Poincaré
8 . Équirépartition des racines de congruences quadratiques et application



THÉORIE ANALYTIQUE DES NOMBRES

By: Unknown on: 14:20

Table des matières

Chapitre 1 Introduction aux concepts de programmation
1.1 Une calculatrice
1.2 Les variables
1.3 Les fonctions
1.4 Les listes
1.5 Les fonctions avec les listes
1.6 L’exactitude
1.7 La complexité calculatoire
1.8 La programmation d’ordre supérieur
1.9 La concurrence
1.10 Le dataflow
1.11 L’état explicite
1.12 Les objets
1.13 Les classes
1.14 Le non-déterminisme et le temps
1.15 Exercices
 Table des matières
Chapitre 2 La programmation déclarative 
2.1 Définir un langage de programmation pratique
2.2 La mémoire à affectation unique
2.3 Le langage noyau déclaratif
2.4 La sémantique du langage noyau
2.5 La gestion de mémoire
2.6 Du langage noyau au langage pratique
2.7 Les exceptions
2.8 Exercices
Chapitre 3 Techniques de programmation déclarative
3.1 La déclarativité c’est quoi?
3.2 Le calcul itératif
3.3 Le calcul récursif
3.4 La programmation avec la récursion
3.5 Les types de données abstraits
3.6 L’efficacité en temps et en espace
3.7 Les besoins non déclaratifs
3.8 La programmation à petite échelle
3.9 Exercices
Chapitre 4 La programmation concurrente dataflow 
4.1 Le modèle concurrent dataflow
4.2 La programmation de base avec les fils
4.3 Les flots
4.4 Les principales limitations de la programmation déclarative
4.5 Exercices
Chapitre 5 La programmation avec état explicite
5.1 L’état c’est quoi?
5.2 L’état et la construction de systèmes
5.3 Le modèle déclaratif avec état explicite
5.4 L’abstraction de données
5.5 Le polymorphisme
5.6 La programmation à grande échelle
5.7 Exercices
Chapitre 6 La programmation orientée objet
6.1 L’héritage
6.2 Les classes comme abstractions complètes
6.3 Les classes comme abstractions incrémentales
6.4 La programmation avec l’héritage
6.5 Le langage Java (partie séquentielle)
6.6 Exercices
Annexe A L’environnement de développement du système Mozart
A.1 L’interface interactive
A.2 L’interface de commande
Annexe B La syntaxe du langage Oz 
B.1 Les instructions interactives
B.2 Les instructions et les expressions
B.3 Les autres symboles non terminaux
B.4 Les opérateurs
B.5 Les mots clés
B.6 La syntaxe lexicale


PROGRAMMATION

By: Unknown on: 14:03



Table des matières

CHAPITRE 1 • JONCTION PN – DIODE À JONCTION
1 1.1 Notions de semi-conducteurs
1.2 Introduction à la théorie des bandes
1.3 Conduction dans les semi-conducteurs
1.4 La jonction PN
1.5 Diode à jonction
1.6 La diode à jonction en petits signaux
1.7 Diode Zener
Exercices
CHAPITRE 2 • LES TRANSISTORS
 2.1 Les transistors bipolaires
2.2 Les transistors à effet de champ
Exercices
CHAPITRE 3 • LES AMPLIFICATEURS
 3.1 Introduction
3.2 Classification des amplificateurs
3.3 Montages fondamentaux à transistors bipolaires
3.4 Étude détaillée d’un émetteur commun
3.5 Amplificateurs fondamentaux à transistors FET
3.6 Les différentes classes des amplificateurs
3.7 Amplificateur différentiel..................................... 116
Exercices .........................................................120
CHAPITRE 4 • DIODES ET TRANSISTORS EN COMMUTATION.
Généralités
4.2 Diode en commutation
4.3 Le transistor en commutation
Exercices
CHAPITRE 5 • L’AMPLIFICATEUR OPÉRATIONNEL
Généralités et structure interne
5.2 Caractéristiques en continue
5.3 Caractéristiques en fonction de la fréquence
5.4 Principaux montages
Exercices
CHAPITRE 6 • CIRCUITS INTÉGRÉS ANALOGIQUES
Régulateurs de tensions
6.2 Les temporisateurs
6.3 Les Multiplieurs
6.4 La boucle à verrouillage de phase
6.5 Générateurs de fonctions
Exercices



INTRODUCTION à ELECTRONIQUE ANALOGIQUE

By: Unknown on: 13:44





CAPES de sciences physiques Tome 1 Physique

By: Unknown on: 13:30
  

 Description :
   Il existe un certain nombre d’ouvrages qui traitent des endommagements des matériaux. J’en ai moi-même écrit un avec mes amis André Pineau et André Zaoui (Comportement mécanique des matériaux, Hermès, 1991 et sa traduction en anglais Mechanical Behaviour of Materials, Kluwer, 1998). Comment faire pour apporter un peu de neuf ? C’est surtout dans l’organisation des chapitres que j’ai cherché à innover. J’ai essayé de regrouper les questions selon des problématiques générales touchant à des domaines conjoints : par exemple l’ordre et le désordre ; la façon dont les besoins industriels ont poussé au développement du domaine ; l’incidence des connaissances concernant les endommagements sur la maintenance. J’espère ainsi susciter de l’intérêt au détriment peut-être d’un exposé de construction plus linéaire. Il faudra parfois aller d’un chapitre à un autre pour faire le tour de certaines questions, ce que l’index facilite.
   J’ai voulu écrire quelque chose qui ne rebute pas trop les lecteurs qui auraient des préventions par rapport aux formules mathématiques. Elles sont parfois difficilement évitables. Certains calculs sont rassemblés à la fin des chapitres, pour permettre une compréhension plus approfondie. De même, ai-je inclus une annexe finale rassemblant des éléments de mécanique de la rupture en élasticité linéaire, qui intervient à de nombreuses reprises dans le traitement des endommagements. Pour autant, la possession de quelques connaissances en mécanique du solide et en science des matériaux est indispensable. Je ne suis pas revenu sur la définition du tenseur des contraintes, sur des notions élémentaires de chimie et de thermodynamique, sur les diagrammes de phase et les traitements thermiques, sur la diffusion, etc. Les étudiants d’un niveau de mastère, voire de licence, devraient ne pas éprouver trop de difficultés. J’espère que ces derniers, comme leurs professeurs, les chercheurs et les ingénieurs, trouveront cet ouvrage utile.......



Endommagements et rupture de matériaux.

By: Unknown on: 13:24



Description
   L’électricité est une forme d’énergie produite par la circulation de charges électriques dans un corps conducteur ou semi-conducteur. Certains corps, en particulier les mé- taux (aluminium, cuivre...) sont de très bons conducteurs parce qu’ils possèdent des électrons qui peuvent se libérer de l’attraction du noyau de l’atome pour participer à la conduction électrique. Dans d’autres matériaux appelés isolants, les charges électriques ne peuvent pas circuler.
L’étude du mouvement de ces charges électriques et des phénomènes qui s’y rat- tachent est l’électrocinétique. En réalité, la mise en mouvement des charges dans un conducteur n’est pas instantanée. Le champ électromagnétique se propage le long du conducteur à une vitesse proche de la vitesse de la lumière qui est : c = 3×108 m.s−1 (mètres par seconde).
Nous allons dans la suite de ce paragraphe rappeler les définitions de l’électrocinétique.
Prenons par exemple le cas d’une batterie de voiture de 12 volts : cette batterie qui est appelée générateur de tension ou source de tension a pour rôle de fournir l’énergie sous forme d’un courant électrique. Une ampoule branchée directement aux bornes de la batterie reçoit le courant c’est pourquoi l’ampoule est appelée un récepteur passage du courant électrique échauffe le filament de l’ampoule qui devient incandescent et produit une lumière. D’une façon générale, un récepteur est un appareil qui transforme l’énergie électrique en diverses énergies. Le rôle du générateur consiste non pas à fabriquer des charges, mais à mettre en mouvement simultané les charges mobiles situées dans les matériaux conducteurs du circuit électrique. C’est cette circulation des charges électriques dans les conducteurs que nous appelons le courant électrique.


Electricite generalen 2eme edition

By: Unknown on: 13:11

vendredi 8 novembre 2013



Description

  Que se passe-t-il dans le cerveau des personnes qui vivent des expèriences mystique ? A l'aide des nouvelles technologies les scientifiques tentent de répondre à cette question en regardant directement ce qu'il se passe dans le cerveau de gens en profonde méditation ou encore plongé dans une pofonde prière .





Le Cerveau Mystique

By: Unknown on: 06:36
    




Description:

    Des séquences animées en 3D prouvent que notre capacité de raisonnement atteint vite ses limites et peine à influencer nos comportements. Des objets banals tels que des allumettes et des chaises permettent des expériences surprenantes quand ils sont manipulés par des chercheurs. Pour prouver le bien-fondé de leurs thèses, ces derniers n'hésitent pas à s'élancer sur une planche de surf ou à étudier les méthodes des prestidigitateurs. Autant de raisons de s'inquiéter parfois, notamment quand nous apprenons que notre cerveau prend les décisions sept secondes avant que nous en ayons conscience ! Un fascinant périple aux quatre coins du monde, de l'Australie à l'Allemagne en passant par les États-Unis et la Suède, pour observer nos neurones dans tous leurs états.








Le Cerveau et ses Automatismes Le Pouvoir de L'inconscient

By: Unknown on: 06:29

lundi 4 novembre 2013

Description:
   Avec les éléments de programmation que nous connaissons, nous sommes capables de programmer tout ce qui est programmable. Cependant l’expérience des programmeurs a conduit `a introduire d’autres notions, théoriquement non indispensables mais facilitant nettement la pratique de la programmation. Ceci est le cas des sous-programmes; c’est le cas également des structures de données que nous allons étudier maintenant. Jusqu’à a maintenant on attribuait une variable simple par donnée a un instant précis. Il arrive que les données soient nombreuses étaient un certain lien entre elles, ce concept de lien étant considéré de fac¸on intuitive et suffisamment vague pour l’instant. Ce phénomène conduit `a considérer ce que l’on appelle une structure de données en informatique. Les structures de données dont le besoin s’est fait le plus ressentir au cours de l’histoire (assez courte, certes) de la programmation apparaissent explicitement dans les langages informatiques. Nous allons les étudier l’une après l’autre en montrant leur intarˆet. Nous réfléchirons plus tard `a la notion générale de structure de données, en considérant en particulier celles qui ne sont pas implémentées dans les langages de programmation




Structure Des données Langage c

By: Unknown on: 15:00
Description:
  Le terme probabilité possède plusieurs sens : venu historiquement du latin probabilitas, il désigne l'opposé du concept de certitude ; il est également une évaluation du caractèreprobable d'un évènement, c'est-à-dire qu'une valeur permet de représenter de degré de certitude ; récemment, la probabilité est devenue une science mathématique et est appeléethéorie des probabilités ou plus simplement probabilités; enfin une doctrine porte également le nom de probabilisme.
La probabilité d'un événement est un nombre réel compris entre 0 et 1. Plus ce nombre est grand, plus le risque, ou la chance, que l'événement se produise est grand. L'étude scientifique des probabilités est relativement récente dans l'histoire des mathématiques. L'étude des probabilités a connu de nombreux développements depuis le xviiie siècle grâce à l'étude de l'aspect aléatoire et en partie imprévisible de certains phénomènes, en particulier les jeux de hasard. Ceux-ci ont conduit les mathématiciens à développer une théorie qui a ensuite eu des implications dans des domaines aussi variés que la météorologie, la finance ou la chimie.


PROBABILITÉ COURS EXERCICES

By: Unknown on: 14:45



Description:
  Maple a été initialement développé au sein du Symbolic Computation Group de l'université de Waterloo en Ontario (Canada) à partir de décembre 19802. La première version publique date de 1985 (version 3.3).
Le logiciel permet aussi bien de travailler sur des quantités numériques (entièresréellescomplexes) qu'avec des polynômes, fonctions, séries. Maple réalise des dérivations,intégrations, résolutions de systèmes d'équations linéaires, inversions de matrices, développements asymptotiques et résolutions d'équations différentielles sous forme symbolique, c'est-à-dire en gardant des inconnues dans la résolution. Le système Maple offre aussi de nombreuses fonctionnalités en théorie des nombres et en combinatoire.
Maple est un système interprété, c'est-à-dire que l'utilisateur tape une ligne de commande suivie d'un terminateur, ce qui provoque une évaluation (calcul ou résolution) et le système retourne un résultat. Maple représente les objets sous la forme d'un graphe orienté acyclique. Il est cependant également possible d'écrire des programmes (dans un langage très proche de celui des lignes de commandes) qui ne seront pas compilés, mais interprétés à leur appel, et d'enrichir ainsi le système avec de nouvelles commandes.
Il est ensuite possible de :
  • copier et coller les formules mathématiques correspondantes dans un traitement de texte ;
  • tracer des courbes ou des surfaces (en aspect 3D) ;
  • générer les programmes de calcul numérique correspondants (par exemple en C).
Maple offre un mode console et un mode graphique. Il est disponible sur la majorité des systèmes d'exploitation (GNU/Linux, Macintosh, Windows).


Maple Cous Exercices Examens

By: Unknown on: 14:38

Description:*
  Certains problèmes de mathématiques peuvent être résolus numériquement (c.-à-d., sur ordinateur) de façon exacte par un algorithme en un nombre fini d'opérations. Ces algorithmes sont parfois appelés méthodes directes ou qualifiés de finis. Des exemples sont l’élimination de Gauss-Jordan pour la résolution d’un système d’équations linéaires et l’algorithme du simplexe en optimisation linéaire.
Cependant, aucune méthode directe n’est connue pour certains problèmes (de plus, pour une classe de problèmes dits NP-complets, aucun algorithme de calcul direct en temps polynomial n'est connu à ce jour). Dans de tels cas, il est parfois possible d’utiliser une méthode itérative pour tenter de déterminer une approximation de la solution. Une telle méthode démarre depuis une valeur devinée ou estimée grossièrement et trouve des approximations successives qui devraient converger vers la solution sous certaines conditions. Même quand une méthode directe existe, une méthode itérative peut être préférable car elle est souvent plus efficace et même souvent plus stable (notamment elle permet le plus souvent de corriger des erreurs mineures dans les calculs intermédiaires).
Par ailleurs, certains problèmes continus peuvent parfois être remplacés par un problème discret dont la solution est connue pour approcher celle du problème continu ; ce procédé est appelé discrétisation. Par exemple la solution d’une équation différentielle est une fonction. Cette fonction peut être représentée de façon approchée par une quantité finie de données, par exemple par sa valeur en un nombre fini de points de son domaine de définition, même si ce domaine est continu.
L’utilisation de l’analyse numérique est grandement facilitée par les ordinateurs. L’accroissement de la disponibilité et de la puissance des ordinateurs depuis la seconde moitié duxxe siècle a permis l’application de l’analyse numérique dans de nombreux domaines scientifiques, techniques et économiques, avec souvent des effets révolutionnaires.



Analyse Numérique Cours exercices Examen

By: Unknown on: 14:22

 
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